l'interne cohabitation
Aujourd'hui Victor (cf. note (juste) précédente) a bien travaillé.
Sorti de (très) bonne heure, il a permis à son hôte (un tantinet abasourdi) une prise caféïque au bar en bas du boulevard (Victor a un très bon sens de l'orientation et s'est trouvé rapidement capable de se repérer dans ce territoire pour lui encore inconnu), puis s'est rapidement mis en quête de contenants cartonneux, en a trouvé quelques uns (pas suffisamment certes, mais cette nouvelle activité matinale va maintenant, semble-t-il, entrer dans son processus comportemental, encore très mystérieux), puis (enfin) s'est mis en mode pause afin que celui qui écrit ce blog s'en aille retrouver des partenaires amicalo-professionnels (qui ne se sont rendus compte de rien, à son grand dam) pour une (grosse) journée labeurique.
Celui qui écrit ce blog, qui semble pour l'heure avoir " repris la main ", a donc retrouvé son intérieur domestique en fin de journée, passablement épuisé, a stagné quelques (très) longues minutes sous un flot régulier (ainsi que goutteleux) de frais liquide aqueux, et envisage présentement (si Victor n'intervient pas subrepticement pour une (nouvelle) explosion de démesure activique) de commander une nourriture (traditionnellement terrestre), de forme cylindrique, à base de farine, de tomates, d'anchois et (probablement) de fromage fondu, qu'il engloutira dans l'espace sommeillique (non encore tourneboulé, chaotisé et vidé de tout objet (qu'il soit divers et varié ou pas)), dans le regardage d'images (non encore définies) s'animant devant lui, fruit d'une technologie résolument humaine, (Victor n'appréciant que peu l'art cinématographique terrestre, à moins que cela ne soit l'inactivité corporelle).
Bonne nuit Victor ! (pour autant que le concept de " nuit " ait vraiment un sens pour cette entité encore fort intrigante, et de provenance toujours aussi inconnue).
Tout cela reste, nous (?) en conviendrons tous aisément, un tantinet confondant.