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ce que je fais de mes jours (saison 3)
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20 février 2016

la (brève ?) reprise de femino-cotoyance (disfonctionnante)

Alors que l'univers (global et particulier) persiste à singulièrement disfonctionner (en même temps, c'est pas nouveau), nous (?) laissant, entre autres choses, dans l'ignorance totale de ce qu'il advient de Victor, d'Odette et des autres, il n'en reste pas moins que l'hypothétique métamorphose/transformation de celui qui écrit ce blog en Lord Sandra Von Bullock (cf notes précédentes) peine encore à arriver. C'est assez ennuyeux.

Et au vu de l'augmentation (conséquente) des disfonctionnements divers et variés, force est de constater que celui qui écrit ce blog commence à envisager sérieusement une translation géographique (une fuite ?) de sa personne en un (des ?) endroit(s) plus ou moins lointain(s) (encore à déterminer) dans une temporalité (relativement) imminente, afin (de tenter) d'interrompre un cycle vicié (si cycle il y a).

En attendant (me connaissant, ça peut prendre un moment), il peut être intéressant (ou pas) de poster ici la retranscription (un tantinet romancée, les prénoms des participants ont été changés, sans vraiment préserver l'intimité de qui que ce soit) d'une anecdote situationnelle vécue par celui qui écrit ce blog, ces derniers temps perturbé par une femino-cotoyance (passablement) disfonctionnante. (En même temps, ça mange pas de pain (?)).

 

Ce matin-là, Vladimir se réveille, une première fois, dans un lit qui n'est pas le sien. Et, comme la veille il a un tantinet abusé de liquides à forte teneur alcoolisée, on (qui ça ?) pourrait éventuellement s'attendre à ce qu'il ne se rappelle plus où il est. Mais point du tout ! Vladimir n'est pas ce genre d'homme, il s'en souvient très bien et, bien que son corps ait un peu de mal à se mouvoir (l'aurait-on passé à tabac ? le fait est qu'il a beaucoup (exagérément) fumé la veille, et que sa (déjà) vieille (quoique vigoureuse ?) constitution corporelle s'en voit singulièrement fragilisée), il lui suffit de légèrement se tourner sur le côté pour deviner, sous la couette, le corps (alangui ?) de sa douce partenaire, la troublante Déborah, à ses côtés donc, comme il est dit plus haut.

Il se réveille une première fois donc, dans la blancheur immaculée (virginale ?) d'un appartement qui n'est pas le sien, mais dans lequel il se sent bien, (il est comme ça vladimir, c'est une bonne nature). Puis il se rendort (s'évanouit ?).

Plus tard, vladimir se réveille une deuxième fois, au même endroit, bien conscient tout de même, (les pieds sur terre garder il faut), qu'il eut été fort improbable qu'il se fût réveillé, une seconde fois, en un autre endroit. Il est plus tard (c'est logique).

Il regarde les premiers rayons du soleil, (c'est très approximatif soit dit en passant, car il aurait tout à fait pu s'agir des deuxièmes, troisièmes, voire énièmes rayons, cela reste assez difficile à préciser précisément) pénétraient délicatement la pièce, à travers les volets clôts.

Toujours à ses côtés, le corps chaud (et sensuelle) de Déborah, ondulant doucement au rythme de sa respiration (ondulante aussi ?), et ne laissant à voir, émergeant (?) de la couette, qu'un bout d'épaule (à la peau douce et soyeuse), qu'un début de cou (et toujours la même peau douce et soyeuse), ainsi enfin qu'une chevelure autrefois plus longue, mais toujours aussi (vladimir lui-même est obligé de le reconnaître objectivement) flamboyante, débordante, brûlante, troublante, (ainsi qu'une longue (et fastidieuse) suite de qualificatifs en "-ante ", précisant tout de même que certains devront être rigoureusement évités, comme par exemple " amiante " qui, on le voit bien ici (non ?) n'a rien avoir avoir tout ça).

Or donc, de la concision ! 

(nous reviendrons éventuellement plus tard (ou pas du tout) sur la circoncision qui, malgré une évidente parenté phonétique avec la concision précédemment requise a, pour l'heure, autant à voir dans cette histoire que l'amiante sus-évoquée, c'est à dire pas grand chose).

Re-or donc, résumons:

Vladimir se réveille dans le lit de Déborah. Tout contre Déborah. Il est tôt.

Soudain !

Un portable sur une table basse se met à vibrer.

Féline et entraînée (?), Déborah s'extirpe soudainement, ainsi que félinement (du fait de son entraînement) du lit convivial (?) et plonge, telle un aigle majestueux (et félin ??? qu'est-ce que c'est encore que ces conneries !) sur la fine fleur technologique de cette époque bénie (et puis quoi encore ???), ce petit objet communiquant (qui a pour étonnante coutume de se mettre à vibrer juste quand vladimir est contre Déborah, c'est dingue cette histoire !) qui vibre (encore ?) sur la table basse devant le lit, au deuxième étage d'un immeuble qui donne sur une rue, elle-même située dans un quartier d'une ville faisant partie d'un pays (une autre capacité localisatrice de ce petit appareil à qui il arrive de se mettre à vibrer tôt le matin, alors que l'autre (?) est contre Déborah).

Enfin bref.

L'information se révèle, cinglante et incontournable:

James et Bill (?) vont bientôt débarquer, pour récupérer " des baskets ! ".

Il peut être utile de préciser ici qu'il s'agit bien évidemment d'un message codé, et clairement décodé (ça tombe bien) par Déborah et vladimir:

 Ils (qui ça ?) ont retrouvé sa trace, et vladimir n'a d'autre choix, s'il ne veut pas griller et compromettre la couverture de Déborah, (la couette, c'est une autre histoire), et ne pas mettre en danger la planète toute entière (ces gens-là ne plaisantent pas !)), que de s'habiller prestement et de s'enfuir d'une façon similaire, c'est à dire prestement aussi.

En sortant de l'immeuble (qui donne dans la rue du quartier de la ville du pays), vladimir regarde à gauche. Puis regarde à droite. Puis regarde à gauche de nouveau (il n'est pas bien réveillé, et deux précisions valent mieux qu'une). Puis il regarde encore à droite (en réfléchissant, il se dit, assez connement, que trois précisions, c'est peut-être mieux que deux).

Enfin bref, vladimir sort de l'immeuble, regarde partout plusieurs fois, et va directement au bar, (celui en bas du boulevard).

Il boit un café. Puis en boit un autre.

Des gens (d'autres agents ?) le rejoignent. L'univers s'apaise (vraiment ?). Et le monde global retourne vaquer à ses occupations. On a eu chaud !

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