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ce que je fais de mes jours (saison 3)
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26 avril 2019

la récurrence (ou pas) des systèmes comportementaux récurrents

De retour en intérieur domestique depuis quelques jours, force est de constater que l’action simultanée de deux éléments (pourtant) distincts, à savoir un climat météorologique singulièrement pourri et l’effectuance de quelques tâches incontournables, (à ces deux éléments s’ajoutant une naturelle (et constitutive) inertie), n’a donc point permis la rédaction et postance de note dans cet espace blogguesque. Et alors que se profile déjà à l’horizon très proche (?) un nouveau déplacement géographique de ma personne, je n’en baisse pas les bras pour autant (ce qui, soit dit en passant, est une (commune) expression relativement inadéquate dans le cas présent, mes bras étant déjà fortement baissés depuis un certain temps déjà…), et voici donc que, par cette ensoleillée matinée vendredienne, je reviens par ici (où ça exactement ?) pour un point narratif de ce que j’ai fais ces derniers jours:

Souvenons-nous en (encore ce mystérieux «  nous « qui revient me narguer…), il y a onze (11) jours (cf. note juste précédente), je m’apprêtais à rejoindre un (plus ou moins) lointain, (selon où l’on se place...c’est comme tout), pays pour un séjour familial et vacancier, qui s’est (agréablement) effectué dans un (exceptionnel) contexte climatique fort clément.

Comme prévu, cafés et cigarettes furent consommées en divers lieux, ainsi que de lointaines rues furent arpentées en déambulation bonhomme (et printanière), ce qui peut aisément s’apparenter à un système comportemental récurrent, rarement démenti et qui a fait ces preuves avec le succès qu’on lui reconnait, (pas d’inquiétude, je suis bien conscient du taux excessif d’exagération de cette dernière formulation qui, à bien y regarder, ne veut pas dire grand chose et n’amène strictement aucun élément ou information susceptible de décrire (ou plus humblement d’évoquer) une quelconque situation, mais bon, c’est trop tard, il fallait y penser avant !).

Donc cafés, cigarettes et lointaines rues arpentées constituent ce que je nomme (fort arbitrairement, ne nous arrêtons pas pour si peu) la Partie une.

En Partie deux, il peut-être intéressant (ou pas) de signaler ici que je n’ai acheté aucunes chaussures, (mettant ainsi à mal un deuxième système comportemental récurrent puisque, dans la grande majorité des cas, quand je pars là-bas (où ça ?), j’achète de nouvelles chaussures, comme je le précise quelque part…).

Celui qui écrit ce blog a aussi, c’est assez exceptionnel pour le signaler ici (?), déplacé sa personne physique sur un territoire naturel, (sauvage mais « ouvert au public »), verdoyant et forestier, en agréable déambulation pédestre. Il peut être intéressant (ou pas) de signaler ici que lors de cette « randonnée » collineuse et forestière, deux créatures au statuts fort distincts, reptiliennes et de taille réduite, furent croisées (sur le chemin et sur le bord du chemin):

la première censée présenter toutes les caractéristiques de son espèce, (pas de pattes ni de membres pour se déplacer, et se déplaçant par mouvements oscillatoires de leurs corps grâce à des écailles ventrales), n’avait ni pattes ni membres, avait des écailles ventrales pour se déplacer, mais ne se déplaçait plus du tout (par mouvements oscillatoires ou autres) pour cause première de non-vie.

la deuxième créature, aperçue furtivement au bord du chemin, ne possédait ni pattes ni membres, mais se déplaçait elle carrément vite, en mouvements oscillatoires de son corps écailleux, vivante (et vivace) sans aucun doute.

Randonnée serpenteuse constitue la (arbitrairement dénommée) Partie trois.

Tout aussi exceptionnellement, celui qui écrit ce blog, accompagné de proches familiaux, a visité la maison (la chambre, la cuisine, les toilettes), transformée en musée, d’une célébrité respectivement locale, régionale, nationale et internationale (c’est pas rien), ayant acquis ces « niveaux de visibilité » lors de parcours existentiels bien fournis pouvant se ramener à trois voies/directions/carrières principales et distinctes:

Dés son enfance forestière, il (puisqu’il s’agit d’un « il »), il a, reprends-je, singulièrement (et très probablement laborieusement) développé les éléments constitutifs de sa (progressivement surpuissante ? surdimensionnée ?) structure musculaire, à force principalement de soulèvements répétés de poids très lourds. Cela l’a rendu célèbre dans le milieu des gens qui développent singulièrement les éléments constitutifs de leurs (progressivement puissantes ? surdimensionnées ?) structures musculaires.

Propulsé (?) ensuite dans le milieu des gens qui font, avec d’autres gens, des choses étant appelées à être montrées à d’encore plus nombreux gens (nombreusement ou pas) réunis dans des endroits (des salles) où l’éclairage s’éteint et où les gens sont plongés dans l’obscurité pour visionner les choses qu’ont réalisés les gens du début (du présent paragraphe), cela l’a (de nouveau) rendu célèbre dans le milieu (juste précédemment évoqué) et encore ailleurs, grâce à des gens encore plus nombreux.

Enfin (mais que nous réserve-t-il pour l’avenir ?), probablement du fait de sa célébrité, il a occupé un poste à fortes responsabilités (bien que je reconnaisse honnêtement que je n’ai pas la moindre idée de à quoi elles peuvent se rattacher concrètement) dans une région du monde fortement connue par (très) beaucoup de gens.

Le musée d’une célébrité est la (arbitrairement dénommée) Partie quatre.

Et si maintenant, je nomme (arbitrairement) une Partie cinq et que je la définisse comme l’illustration (résolument adéquate) d’un système comportemental récurrent, il me suffira alors de l’évoquer (distraitement) pour en terminer avec cette (présente) note:

Je crois que je vais aller boire un verre d’eau.

Dont acte.

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