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ce que je fais de mes jours (saison 3)
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22 juin 2022

la récurrence des éléments

A l’issue d’une (nouvelle) journée labeurique, toujours dans le cadre du développement (de plus en plus hypothétique) d’un projet non hypothétique, hypothéticité découlant d’une confusion (patente ? malencontreuse ?) entre « instructions » et « intentions » de la part de la « dirigeante projectale » (ainsi que partenaire amicalo-professionnelle), nous mettant, un (géographiquement lointain et) nouveau partenaire amicalo-professionnel et moi-même, dans une (non négligeable) difficulté (et confusion) labeurique…mais cela serait trop long (Hahahaha !) de développer ici cette thématique, (ouf, on est passé prés).

Or donc, après labeur, j’ai descendu le boulevard descendant pour une prise caféïque au bar (en bas du boulevard).

Et me revenant en intérieur domestique, il peut être intéressant (ou pas) de mentionner ici une (soucieuse ? soucieugêne ?) thématique (malencontreusement fort peu intéressante) qui oblige celui qui écrit ce blog (moi donc, pas besoin de revenir sur ce point, et pourtant j’y reviens, c’est pas très malin, reconnais-je, contrit), à une logistique pointue et quasi-incontournable.

A ce niveau (?), signalons, par (paresseuse) facilité (et compréhension ?), deux (2) éléments à très haut indice récurrent (en cet espace blogguesque):

1. je bois des cafés en terrasse.

2. je fume des cigarettes.

Nous (qui ça ?) pourrions rajouter un troisième élément lui aussi à très haut indice récurrent: je vais boire des verres d’eau dans l’espace cuisinique, mais ce dernier élément sort du sujet abordé (ah bon ?).

Et comme, quatrième élément (zut alors !), c’est (depuis très récemment) l’été et donc, (cinquième élément ???), il fait chaud, (bien qu’il faisait déjà chaud avant, mais ne chipotons pas).

Donc pour résumer, (mais si, mais si), et faire (enfin ?) du lien:

Il fait chaud et suis donc, lors de sorties extérieures, légèrement vêtu, (très principalement pantalon et chemise). Et je fume des cigarettes en milieu extérieur et/ou terrassique.

A partir de là, et pour simplifier (?), la situation (ou encore thématique très évasivement sus-évoquée) aboutit à deux « orientations » ou « options »:

Soit ma chemise du jour comporte une « poche poitrine », (j’ai cherché dans le dictionnaire), et je peux mettre mon paquet de cigarette (et le briquet ?) dedans.

Soit ma chemise du jour ne comporte pas de « poche poitrine » et je dois mettre mon paquet de cigarettes (et le briquet) dans un sac.

Si maintenant, j’annonce frontalement, (« sans prendre de gants », aurais-je pu (métaphoriquement) préciser, mais là, on sort de la saison), que je prends systématiquement un sac avec moi lors d’occupation d’espaces hors intérieur domestique, (ce qui enlève, de fait, toute tentative d’(hypothétique) suspense dans la narration confuse de cette (présente) note), force est de constater la (très) grande pertinence et la justesse prémonitoire du statut (assez désolant de véracité) de la thématique sus-évoquée (un certain nombre de lignes plus haut), à savoir « malencontreusement fort peu intéressante «.

Précisant à toutes fins utiles (à quoi ?) que lors de mes intra-déplacements dans l’intérieur domestique, et pour d’évidentes raisons (ah bon ?) le (très) relatif souci du paquet de cigarettes ne se pose pas (avec ou sans poche poitrine), il n’en reste pas moins, (et cela ne sera une surprise pour personne), que j’envisage présentement de me rendre imminement dans l’espace cuisinique pour y boire un verre d’eau.

Re-à partir de là, tout est dit (écrit). Ou pas.

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