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ce que je fais de mes jours (saison 3)
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26 juin 2022

le (chanceux) non-passage (énergivore) à l’acte

Ayant (difficilement ? prudemment ? bienveillamment ?) résisté ces derniers jours au risque basculatoire, qui aurait pu (malencontreusement) entrainé une sortie de ma personne, (lourdement ?) armé d’un objet contondant (hachette ? marteau ? tournevis ? manche à balai ? pince à épiler ?… une (totale) aversion pour ce genre d’objets ainsi qu’un pouvoir d’achat (relativement) réduit m’interdisant (bien heureusement) l’acquisition d’armes à feu, sortie (prévisiblement plutôt) « nerveuse » donc, reprends-je, de ma personne dans l’espace public et extérieur, à seule fin (inutile, pas très sympa et plutôt dérisoire, je le reconnais honnêtement) de détruire tout ce qui passerait à ma portée (heureusement réduite), ayant résisté à tout ça re-donc, re-reprends-je en toute impunité (?), force est de constater que, l’air de rien, cette résistance ayant consommé une part importante de mes réserves énergétiques et, par là même, entrainer une baisse (non moins) importante de ma capacité tolérantrice (?) vis à vis du monde confus et chaotique, cette « tolérance » se voyant singulièrement (et principalement) minorée dans la plupart de (mes) rapports (récents) avec mes contemporain-e-s, une stagnation/confinement/retraite radicale de ma personne en mon intérieur domestique reste la meilleure option pour cette journée dimanchique autant qu’ensoleillée, usant ainsi d’une (vieille) technique survivatoire bien connue de la plupart des (petits) mammifères (à la queue chatoyante ou pas) qui alternent les sorties gambadantes et ludiques dans de verts pâturages (ensoleillés itou) avec les replis (reposatoires, prudents, hibernatoires, etc.) dans leurs intérieurs domestiques respectifs, communément appelés « terriers ».

Il n’en reste pas moins qu’il peut être intéressant (ou pas) de remarquer ici que le paragraphe (juste) précédent n’est constituée que d’une seule phrase, (confuse et digressive, rien de bien nouveau), dont la (fastidieuse) rédaction (et je n’imagine même pas la lecture) a, à n’en point douter, très probablement quasi-totalement épuisé le reste des réserves énergétiques sus-évoquées, dans le même précédent paragraphe, lui aussi sus-évoqué.

Selon la formule bien connue (vraiment ?), cela reste, par certains côtés, un tantinet confondant.

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