Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
ce que je fais de mes jours (saison 3)
ce que je fais de mes jours (saison 3)
Publicité
Archives
31 juillet 2015

la non femino-cotoyance (mais de peu...)


Alors qu'hier contexte et cadre semblaient parfaitement adaptés à un très naturel, doux et léger épisode femino-cotoyant estival avec la charmante et feminine créature évoquée dans la note (juste) precedente, il peut être intéressant (ou pas) de signaler ici le très hâtif (ainsi que soudain) départ de la charmante et féminine créature, juste une petite heure après son arrivée, alors que les toutes précédentes soirées s'étaient poursuivies fort nuitamment. Hâtive quasi-disparition laissant celui qui écrit ce blog fort perplexe.
À la réflexion rétroactive, force est de constater l'oubli somme toute assez ballot de celui qui écrit ce blog quant à l'historique de la relation elle-même.
Ainsi, dans un passé récent, ces dernières semaines, durant lequel un singulier rapprochement avait progressivement (assez étonnamment) été " instauré " par la dite feminine et charmante personne, qui plus est amie (un peu lointaine mais tout de même) de longue date, ceci expliquant probablement cela, divers éléments contradictoires (et paradoxaux) avaient éveillé ma curiosité: une sorte d'aller-retour indécis et (un tantinet) nerveux exécuté parfois fébrilement par la demoiselle entre, (très trivialement énoncé): je me rapproche de lui (donc moi), je m'éloigne de lui (toujours moi), puis reviens vers lui (bibi), puis m'en écarte (" de qui ? " demande celui (ou celle) qui a du mal à suivre), etc.
Et pourtant ces derniers jours avaient vu ce rapprochement devenir plus patent, plus concret, plus posé aussi, d'où ma naturel envisageance d'un imminent épisode femino-cotoyant, qui n'arriva donc pas, à mon (relatif) grand dam. À mes (naturelles et justifiées) interrogations quant à ce comportement pour le moins instable et par certains côtés assez perturbant, (alors que finalement, je n'avais rien demandé à personne, laissant juste venir les choses), me fut répondu cette (assez) délicate formule: " il faut juste que je me fasse à l'idée... ", signifiant ainsi sa naturelle gêne à envisager une intimité rapprochée avec quelqu'un (celui qui écrit ce blog, moi, bibi, ma pomme, Victor, etc.) qu'elle connaissait depuis si longtemps, même si pas si souvent que ça, et même si tout de même désirante.
Enfin bref, outre une légère perplexité (plus qu'une véritable frustration), force est de constater que , même si cet épisode relationnel peut apparaître assez anecdotique, il n'en reste pas moins qu'il a permis à celui qui écrit ce blog d'éviter d'écrire (non sans une quasi-obsessionnelle insistance) le mot " carton ", qui reste à l'heure actuelle le réceptacle conceptuel des principales préoccupations de celui qui écrit ce blog, (même si ce dernier n'est pas vraiment convaincu de la tournure syntaxique (et fort absconse) de cette dernière phrase).
Ou sinon, ce soir pas de stagnation terrassique car il pleut un peu.

Publicité
Publicité
Commentaires
X
Ce ballet sous forme "j'y va-t-y, j'y va-t-y pas" forme un tantinet irritante de rapprochement progressif se constate parfois. Une façon de transformer une chose, somme toute banale, en une manière d'appel du gouffre, l'ivresse du basculement prolongée plus que de raison prenant la place de ladite bascule.<br /> <br /> <br /> <br /> Il faudrait vérifier si en l'occurrence, la duplication victorienne ne viendrait pas compliquer l'équation que la demoiselle calcule en son fort intérieur. Serait elle effrayée d'une sorte de triolisme, certes fictif mais bon. <br /> <br /> <br /> <br /> Il conviendrait alors de prier Victor de bien vouloir aller boire un verre au bar du coin et de ne revenir que tardivement dans la matinée. <br /> <br /> <br /> <br /> Malheureusement et contrairement à ce qui est écrit fictivement plus tard, on manque d'information pour émettre une prédiction certaine.
Répondre
Publicité