Il y a quelques jours, très précisément le mercredi 22 Juin 2022, dans une note postée ici (là donc), j’évoquais (entre autres choses) un « (géographiquement lointain et) nouveau (ainsi que fort sympathique, précise-je additivement ici) partenaire amicalo-professionnel «, avec lequel, soit dit (écrit) en passant, nous sommes in fine (chanceusement autant que consciencieusement) arrivés au bout (un tantinet consensuel mais globalement satisfaisant) du développement (plus du tout hypothétique puisqu’effectif et réalisé) d’un projet non hypothétique, et ce, à l’issue d’une (malencontreusement) assez laborieuse semaine labeurique (heureusement bien) terminée.
Et hier matin, sur l’invitation sympathique d’un couple d’amis (de longue date), j’effectuais une (bienvenue) translation géographique de ma personne en un territoire (intra-départemental) peu lointain (nécessitant tout de même un (bref) usage de transports chemin-de-ferriques), territoire de nature résolument campagnarde et (de fait ou par contraste, va savoir…) fort reposant.
Fort reposants donc furent ces dernières vingt-quatre (24) heures, de par l’hospitalité et (agreabilité) de mes hôtes, dans un cadre champêtre serein, (sérénité juste un tantinet perturbée par la survenue (naturelle) de Culicidés (diptères communément appelés « moustiques), mais sans grandes conséquences).
Or donc, nous avons agréablement partagé considérations diverses et variées sur la marche chaotique et confuse du monde ainsi que celles de nos existences respectives (plus ou moins confuses).
Au fil déambulant de nos conversations/discussions et alors que je remerciais mes hôtes de m’accueillir bienveillamment, chanceuse pause régénératrice après la dernière semaine écoulée, à l’issue de laquelle, rappelons-le ici, nous (?) sommes passés à deux doigts (pas vraiment, mais bon c’est l’idée) d’un (hypothétique) fait divers globalement assez tragique (l’on peut tout imaginer) et qui, à n’en point douter, m’aurait de plus mis dans de beaux draps, (le terme « beaux » se trouvant très fortement exagéré, voire complètement faux au vu du contexte imaginatif).
Enfin bref.
(Je suis ici obligé de reconnaitre honnêtement que l’usage (grossier ?) de la locution adverbiale juste précédente, « enfin bref », n’occulte nullement le fait incontournable que la phrase la précédant, par défaut flagrant de rigueur syntaxique et qui plus est (très rapidement) encombrée de maladroites digressions, ne se termine pas, laissant ainsi l’hypothétique lecteur-trice dans une expectative vaine, qui n’about à rien donc. Je m’en excuse présentement.)
Re-enfin bref, reprends-je, (non sans coquette taquinerie ?), alors que je narrais ma semaine labeurique à mes hôtes, évoquant un élément non négligeable de la narration semaine-dernièresque, à savoir le « (géographiquement lointain et) nouveau partenaire amicalo-professionnel » (sus-évoqué au début de cette (présente) note), à ma très grande surprise, stupéfaction et (quasi) sidération, il s’avéra que mes hôtes le connaissaient très prochement !!!
Donc si je résume, (merci qui ?):
1. La semaine dernière, je réalisais une (difficultueuse) « mission » labeurique, en collaboration (étroite) avec un (très) nouveau (et sympathique) partenaire amicalo-professionnel, échangeant éléments divers et variés par la voie de la (très) moderne (depuis un bon moment déjà, rassurons-nous…nous ne sommes pas encore dans le quatrième millénaire) technologie internique, unique option collaborative, ce nouveau partenaire amicalo-professionnel (appelons le « B. » pour simplifier, l’initiale de son prénom n’étant pas modifiée car c’est déjà suffisamment anonyme), se situant géographiquement en un territoire assez fortement distant (quoiqu’infra-européen) de mon intérieur domestique.
2. J’ai agréablement passé ces dernières vingt-quatre (24) heures (et même un peu plus) avec de (très) bons amis (de très longue date) un peu géographiquement distants mais pas trop et nous apprîmes (tous ensemble), au détour d’une (plus ou moins anodine et) amicale conversation, que tout le monde (mes hôtes, B. et moi-même), contre toute attente (logique ?), nous connaissions, respectivement.
A partir de là, deux options/propositions/conclusions s’offrent à nous (?):
Une phrase à prononcer les mains sur les hanches (et optionellement en dodelinant de la tête), l’air autant convaincu que dubitatif: « le monde est un village «.
Ou selon une formule (plus) usuelle par ici:
Fascinant.