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ce que je fais de mes jours (saison 3)

ce que je fais de mes jours (saison 3)
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10 août 2022

les autres joies (taquines et retorses) de l’univers (chaotique)

M’étant, (assez naïvement), résolu à la jouer discrète, à faire le canard (et le dos rond), entre repli et neutralité/relativisme extrême (?), afin de traverser (bonhommement ?) cette période (plutôt) insatisfaisante, il peut être néanmoins intéressant (quoiqu’un tantinet désagréable) de remarquer que, profitant de la situation (?), l’Adversité, toujours autant taquine que retorse, a sauté sur l’occasion pour en remettre une couche.

Ainsi, alors que je végétais tranquillement dans une réconfortante distanciation de toutes choses (ou presque), celui qui écrit ce blog fut sollicité par un univers chaotique (et parfois surprenant), non pas pour gambader dans de verdoyantes prairies (et autres réjouissances énoncées (conclusivement) dans la note (juste) précédente), mais plus simplement pour m’amener dans un territoire à priori inoffensif dans lequel se tenait tapie l’Adversité sus-évoquée, taquine et retors donc, répète-je.

Et cela n’a pas manqué: à la première occasion, embuches, obstacles et autres contrariétés me furent envoyés par un univers foncièrement désagréable, (en plus de chaotique).

Cela étant, bien que ne voyant guère d’autres alternatives que de poursuivre (sereinement ?) une ligne de conduite plutôt effacée et discrète (dos rond et retraite dans territoire (à priori) protégé…et/ou toutes autres techniques survivalistes qui ont fait leurs preuves dans le passé), il n’en reste pas moins que la perspective d’un (nouveau) projet non hypothétique avec trois (charmantes et agréables) partenaires amicalo-professionnelles devant débuter en septembre prochain, perspective plutôt agréable donc, m’oblige tout de même à quelques démarches et actions organisationnelles, et ce alors que les précédentes démarches de types divers et variés (cf. notes précédentes, quelque part) n’ont (toujours) pas connu la moindre avancée.

On n’est pas rendu…

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2 août 2022

les joies de l’univers (chaotique)

Revenu la semaine dernière d’une translation géographique de ma personne en un lieu lointain (bien qu’intra-national), un tantinet épuisé (car déplacement/séjour à finalité labeurique en conditions climatiques plutôt chaudes), force est de constater que l’indice de satisfaction évoqué dans la note juste précédente n’a que très minimalement changé, présentant toutefois une légère tendance à pencher plutôt vers 18 que 15 (sur une échelle toujours très très arbitraire allant de 3 à 52) du fait de la juste satisfaction du travail accompli.

Phénomène estival (et phocéen ?) aidant (?), il peut être en outre intéressant de signaler que, sur des bien des points (principalement administratifs), la situation n’a guère évolué, l’ensemble global des problématiques se trouvant résolument au point mort.

Cela étant, fatigue et conditions climatiques, (sans oublier l’habituelle (et constitutive ?) inertie naturelle), semblent avoir favorisé une (relative) résignation globale (vis à vis d’à peu près tout) de celui qui écrit ce blog, ce dernier, (moi donc), préférant (prudemment) user de vieilles techniques/stratégies animalières (survivalistes ?), qui ont fait leurs preuves, telles que « faire le dos rond », « plier comme le roseau », ou encore se retrancher en intérieur domestique (et intérieur) protégé, en attendant que cela (?) passe, (voire qu’il se passe quelque chose qui pourrait s’apparenter à une avancée), plutôt que se lancer dans une agitation activique (et téméraire) qui aurait toutes les chances de n’aboutir (malencontreusement) qu’à l’épuisement malencontreux des ressources énergétiques déjà singulièrement entamées.

En même temps, l’univers chaotique étant ce qu’il est (chaotique donc), il n’est pas exclu, à l’orée de ce mois aoutien dépourvu, pour l’heure, du moindre projet, que de chanceux événements surgissent subrepticement et que je me retrouve (métaphoriquement) à gambader allègrement dans de verdoyantes prairies (métaphoriques itou), bondissant ludiquement par dessus rivières et ruisseaux, dévalant éboulis et collines, le tout ponctué de petits cris, pépiements ou bêlements (?) joyeux (et encore métaphoriques). Ou pas.

18 juillet 2022

le relativisme du rien

Au vu des derniers éléments que nous (?) possédons, il semble bien, pour celui qui écrit ce blog, que la (présente) période traversée présente un indice global de satisfaction assez faible (de 15 à 18, sur une échelle (très très arbitraire) allant de 3 à 52).

Néanmoins, alors que celui qui écrit ce blog vient juste de (vaguement) terminer les préparatifs d’une (très) future (puisque demain) translation géographique de sa personne en un lieu (national mais) lointain, pour une nouvelle réalisation d’un projet non hypothétique, en partenariat (élevé) amicalo-professionnel-l-e, (signe, quoiqu’en on dise (ou pense), qu’une certaine forme d’activité perdure encore dans des espaces (pourtant non turbulents) où rien ne semble bouger vraiment), alors que tout cela donc (?), il peut re-néanmoins être intéressant (ou pas) de signaler ici que j’envisage, dans un avenir plus proche encore, d’aller plonger mon corps dans un milieu (fraîchement) aqueux, moussant et privatif (puisque de nature baignoirique, (baignoireuse ? baignoyante ?), d’y résider un certain temps, entre distraites (ou pas) lectures et légers assoupissements, avant de très probablement rejoindre l’ensemble sommeillique (artificiellement ventilé) et de visionner quelque chose qui se visionne, cette dernière pratique ayant occasionné ces derniers jours quelques belles découvertes imagiques.

Comme quoi…

15 juillet 2022

la stagnation du rien

Force est de constater, un tantinet contrit, que si je devais faire le point sur la situation, ce dernier s’avérerait globalement fort peu satisfaisant.

Fort de ce constat, celui qui écrit ce blog se voit alors hésiter entre deux voies/directions rédactionnelles (il en existe très probablement d’autres, mais bon j’ai pas quatre mains non plus…):

La première pourrait consister à creuser dans les sillons multiples du quotidien, analyser (rationnellement ?) les contextes et faits, et ainsi en détacher (chanceusement) les éléments rendus (foncièrement) positifs par un usage (intensif) d’un relativisme de bon aloi, (du genre: « j’ai (encore pour l’instant, restons prudent) deux jambes et deux bras, qui plus est pourvus de leurs extrémités respectives » ou encore « une possibilité peut m’être donnée, (la prudence encore), de boire un verre d’eau dans l’espace cuisinique», ces deux éléments, pourtant par bien des côtés (le mien) plutôt anodins, n’étant pas (malencontreusement) donnés à tout le monde dans ce monde singulièrement chaotique).

Une deuxième voie m’entrainerait (malencontreusement) dans l’énumération des points situationnels, voire peut-être même dans l’analyse descriptive (et obsessionnelle ?) de leurs non-avancées patentes, et ce dans chacun de leurs domaines thématiques respectifs.

Mais une (judicieuse ?) gestion des énergies internes me pousserait plutôt vers une élémentaire (et laconique) proposition syntaxique, (certes réductrice, imparfaite et simpliste et aussi « scientifiquement » fausse et « philosophiquement » ambiguë), à savoir: rien n’avance.

À partir de là, conclure par une formule récurrente en ce lieu bloguesque, « je ne m’en sors pas trop mal », pourrait apparaitre comme une façon par pire qu’une autre de terminer cette (présente) notre.

Dont acte.

 

9 juillet 2022

climatologie activique et donc (un tantinet) fatigante

De retour en intérieur domestique en milieu de semaine, passablement fatigué (labeur et chaleur), force est de constater que point encore de repos n’ai-je pu bénéficier, entre fastidieuses (et journalières) démarches administratives (toujours sans grandes avancées, voire avancées tout court) et débuts de soirée/soirées plutôt alcoolisées.

Etant de nouveau convié ce soir à une « garden-party » (très probablement alcoolisée, pour autant que mon organisme développe de nouvelles capacités d’absorption), il peut être intéressant (ou pas) de signaler ici que cette (imminente) soirée sera (malencontreusement) suivie par deux journées labeuriques plutôt chargées, toujours dans le cadre de la réalisation d’un projet non hypothétique.

À partir là, il y a fort à parier que le niveau de fatigue devrait très probablement se voir augmenter de quelques unités dans les jours qui viennent, pour progressivement redescendre à un niveau raisonnable en milieu de semaine prochaine.

Ou sinon, il fait chaud.

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30 juin 2022

le (prudent) usage des dénis

Alors qu’hier, (naïf et innocent), je me félicitais (relativement, car point complètement dupe ne suis-je) de deux (2) avancées non négligeables dans deux domaines spécifiques, l’arrivée (impromptue) de deux (2) nouveaux éléments informatifs (dans deux domaines similairement spécifiques quoique tous deux très globalement administratifs) a singulièrement occulté le très mince filet d’horizon résolutoire qui commençait (timidement, c’est un euphémisme) à pointer son nez devant ma personne, contrite.

Toutefois, il peut être intéressant (ou pas) de remarquer ici que, loin de plonger dans un total désarroi, voire désespoir (il y aurait peut-être de quoi, mais, quelque part, tout cela reste finalement aussi dérisoire que le reste), je décidais (instinctivement ?) d’user d’une technique/stratégie comportementale, assez souvent pratiquée dans le règne animal (et peut-être plus principalement dans le cas de petits mammifères (à la queue chatoyante ou pas)), technique assez largement usitée, dans le passé, par celui qui écrit ce blog, je veux parler (écrire) de la fuite, et en l’occurence dans mon cas le déni, (carrément !).

Or donc, comme une nouvelle translation géographique de ma personne en un territoire extra-régional, dans le cadre de la réalisation d’un projet non hypothétique avec partenaires amicalo-professionnel-le-s, est d’ors et déjà planifiée pour samedi prochain (dans deux jours), translation et réalisation demandant un minimum de préparatifs et de (relative) concentration, je décidais (re-donc) de faire fi de ces deux (nouvelles) informations (un tantinet contrariantes et problématiques) et de remettre, à mon retour translatant (en milieu de semaine prochaine), toutes tentatives résolutoires, ainsi que réflexions (à gros risque) anxiogènes.

Il peut être également intéressant (ou pas) de signaler ici que, d’une façon résolument plus douce et discrète, j’ai ces derniers jours très progressivement abandonné toutes tentatives de rapprochement pouvant (éventuellement) conduire à une (hypothétique) fémino-côtoyance (d’importance et intensité encore à préciser), et ce sans être nullement (et assez étonnamment) motivé par de définitifs actes ou événements qui auraient pu (cela s’est déjà vu, malencontreusement) survenir, (« se prendre une veste « ou « se faire tailler un short » entre autres, comme il est dit communément).

Par le passé, dans mon expérience personnelle, il semble que déconvenues, déceptions, drames ou encore soucis et tracas (dans le domaine fémino-côtoyant sentimentalo-affectif) provenaient (principalement) de ce type d’événements plutôt abruptes (vestes, shorts, ruptures, etc.), mais là, assez étonnamment répète-je, force est de constater que nous (qui ça ?) sommes plus dans une sorte de non-évènement puisque m’approchant parfois de créatures féminines (plutôt charmantes) et nouant quelque chose qui se rapproche assez prochement d’une relation humaine plutôt rapprochée, celles-ci (les créatures donc) soudain disparaissent du paysage quotidien (aussi bien externe qu’interne): pas de heurts, pas de refus, pas d’accrochages, nul événement hormis une (simple ?) disparition (circonstancielle ? contextuelle ? constitutive ?).

Gageons que c’est la période qui veut ça (?), (pour autant qu’une période puisse réellement vouloir quelque chose, ce qui reste à préciser/définir/prouver).

Fascinant.

29 juin 2022

la (relative) régulation des stocks énergétiques

Aujourd’hui, j’ai (repris et) poursuivis mon agitation (brownienne) pour essayer de résoudre des choses (diverses et variées) non résolues. Dire que les choses ont bien avancé serait mentir effrontément, (ce n’est pas mon genre), mais je me dois de reconnaitre tout de même deux petites (mais non négligeables) avancées/résolutions en deux (2) domaines spécifiques que je ne détaillerai pas ici (ce n’est guère intéressant…pour autant que le reste le soit).

Pour les autres domaines, il semble bien que, pour l’heure, seule une technologie adaptée à l’étude des nano-particules (et de la mécanique quantique) soit à même de discerner le moindre mouvement (gasp !).

Quoiqu’il en soit, force est de constater que le bénéfice énergétique de mon récent (et amical) séjour campagnard a rapidement « fondu comme neige au soleil », (selon l’expression (probablement) consacrée dans les pays où il neige), ce milieu de semaine me trouvant, à peu de choses près, dans le même état d’agacement existentiel qui m’avait incité à « me mettre au vert » en fin de semaine dernière (cf. notes précédentes).

Mais bon, point de passage à l’acte envisagé aujourd’hui, ayant chanceusement (et tout de même) pu profiter de quelques agréables et amicaux moments partagés avec quelques agréables et amicales personnes.

Je ne m’en sors pas si mal.

28 juin 2022

l’(incontournable) fascinance des (relationnelles) coïncidences

Il y a quelques jours, très précisément le mercredi 22 Juin 2022, dans une note postée ici (donc), j’évoquais (entre autres choses) un « (géographiquement lointain et) nouveau (ainsi que fort sympathique, précise-je additivement ici) partenaire amicalo-professionnel «, avec lequel, soit dit (écrit) en passant, nous sommes in fine (chanceusement autant que consciencieusement) arrivés au bout (un tantinet consensuel mais globalement satisfaisant) du développement (plus du tout hypothétique puisqu’effectif et réalisé) d’un projet non hypothétique, et ce, à l’issue d’une (malencontreusement) assez laborieuse semaine labeurique (heureusement bien) terminée.

Et hier matin, sur l’invitation sympathique d’un couple d’amis (de longue date), j’effectuais une (bienvenue) translation géographique de ma personne en un territoire (intra-départemental) peu lointain (nécessitant tout de même un (bref) usage de transports chemin-de-ferriques), territoire de nature résolument campagnarde et (de fait ou par contraste, va savoir…) fort reposant.

Fort reposants donc furent ces dernières vingt-quatre (24) heures, de par l’hospitalité et (agreabilité) de mes hôtes, dans un cadre champêtre serein, (sérénité juste un tantinet perturbée par la survenue (naturelle) de Culicidés (diptères communément appelés « moustiques), mais sans grandes conséquences).

Or donc, nous avons agréablement partagé considérations diverses et variées sur la marche chaotique et confuse du monde ainsi que celles de nos existences respectives (plus ou moins confuses).

Au fil déambulant de nos conversations/discussions et alors que je remerciais mes hôtes de m’accueillir bienveillamment, chanceuse pause régénératrice après la dernière semaine écoulée, à l’issue de laquelle, rappelons-le ici, nous (?) sommes passés à deux doigts (pas vraiment, mais bon c’est l’idée) d’un (hypothétique) fait divers globalement assez tragique (l’on peut tout imaginer) et qui, à n’en point douter, m’aurait de plus mis dans de beaux draps, (le terme « beaux » se trouvant très fortement exagéré, voire complètement faux au vu du contexte imaginatif).

Enfin bref.

(Je suis ici obligé de reconnaitre honnêtement que l’usage (grossier ?) de la locution adverbiale juste précédente, « enfin bref », n’occulte nullement le fait incontournable que la phrase la précédant, par défaut flagrant de rigueur syntaxique et qui plus est (très rapidement) encombrée de maladroites digressions, ne se termine pas, laissant ainsi l’hypothétique lecteur-trice dans une expectative vaine, qui n’about à rien donc. Je m’en excuse présentement.)

Re-enfin bref, reprends-je, (non sans coquette taquinerie ?), alors que je narrais ma semaine labeurique à mes hôtes, évoquant un élément non négligeable de la narration semaine-dernièresque, à savoir le « (géographiquement lointain et) nouveau partenaire amicalo-professionnel » (sus-évoqué au début de cette (présente) note), à ma très grande surprise, stupéfaction et (quasi) sidération, il s’avéra que mes hôtes le connaissaient très prochement !!!

Donc si je résume, (merci qui ?):

1. La semaine dernière, je réalisais une (difficultueuse) « mission » labeurique, en collaboration (étroite) avec un (très) nouveau (et sympathique) partenaire amicalo-professionnel, échangeant éléments divers et variés par la voie de la (très) moderne (depuis un bon moment déjà, rassurons-nous…nous ne sommes pas encore dans le quatrième millénaire) technologie internique, unique option collaborative, ce nouveau partenaire amicalo-professionnel (appelons le « B. » pour simplifier, l’initiale de son prénom n’étant pas modifiée car c’est déjà suffisamment anonyme), se situant géographiquement en un territoire assez fortement distant (quoiqu’infra-européen) de mon intérieur domestique.

2. J’ai agréablement passé ces dernières vingt-quatre (24) heures (et même un peu plus) avec de (très) bons amis (de très longue date) un peu géographiquement distants mais pas trop et nous apprîmes (tous ensemble), au détour d’une (plus ou moins anodine et) amicale conversation, que tout le monde (mes hôtes, B. et moi-même), contre toute attente (logique ?), nous connaissions, respectivement.

A partir de là, deux options/propositions/conclusions s’offrent à nous (?):

Une phrase à prononcer les mains sur les hanches (et optionellement en dodelinant de la tête), l’air autant convaincu que dubitatif: « le monde est un village «.

Ou selon une formule (plus) usuelle par ici:

Fascinant.

26 juin 2022

le (chanceux) non-passage (énergivore) à l’acte

Ayant (difficilement ? prudemment ? bienveillamment ?) résisté ces derniers jours au risque basculatoire, qui aurait pu (malencontreusement) entrainé une sortie de ma personne, (lourdement ?) armé d’un objet contondant (hachette ? marteau ? tournevis ? manche à balai ? pince à épiler ?… une (totale) aversion pour ce genre d’objets ainsi qu’un pouvoir d’achat (relativement) réduit m’interdisant (bien heureusement) l’acquisition d’armes à feu, sortie (prévisiblement plutôt) « nerveuse » donc, reprends-je, de ma personne dans l’espace public et extérieur, à seule fin (inutile, pas très sympa et plutôt dérisoire, je le reconnais honnêtement) de détruire tout ce qui passerait à ma portée (heureusement réduite), ayant résisté à tout ça re-donc, re-reprends-je en toute impunité (?), force est de constater que, l’air de rien, cette résistance ayant consommé une part importante de mes réserves énergétiques et, par là même, entrainer une baisse (non moins) importante de ma capacité tolérantrice (?) vis à vis du monde confus et chaotique, cette « tolérance » se voyant singulièrement (et principalement) minorée dans la plupart de (mes) rapports (récents) avec mes contemporain-e-s, une stagnation/confinement/retraite radicale de ma personne en mon intérieur domestique reste la meilleure option pour cette journée dimanchique autant qu’ensoleillée, usant ainsi d’une (vieille) technique survivatoire bien connue de la plupart des (petits) mammifères (à la queue chatoyante ou pas) qui alternent les sorties gambadantes et ludiques dans de verts pâturages (ensoleillés itou) avec les replis (reposatoires, prudents, hibernatoires, etc.) dans leurs intérieurs domestiques respectifs, communément appelés « terriers ».

Il n’en reste pas moins qu’il peut être intéressant (ou pas) de remarquer ici que le paragraphe (juste) précédent n’est constituée que d’une seule phrase, (confuse et digressive, rien de bien nouveau), dont la (fastidieuse) rédaction (et je n’imagine même pas la lecture) a, à n’en point douter, très probablement quasi-totalement épuisé le reste des réserves énergétiques sus-évoquées, dans le même précédent paragraphe, lui aussi sus-évoqué.

Selon la formule bien connue (vraiment ?), cela reste, par certains côtés, un tantinet confondant.

23 juin 2022

le risque basculatoire (évité de peu)

Ce matin, stagnation et immobilisme (globaux) ont eu (relativement) raison de mon calme (légendaire), d’autant plus que j’ai trouvé dans ma boite mail de nouvelles instructions (confuses et (par certains côtés) contradictoires) de la « dirigeante projectale » (déjà évoquée dans la note (juste) précédente). Et ce, sans même parler (écrire) de tout le reste qui n’avance que peu (qu’espérais-je finalement, innocent et naïf ?).

Du coup, force est de constater que je serai bien tenté de basculer du côté obscur de la force (médiocre référence qui a (encore ?) cours dans le monde confus et chaotique).

Ou sinon, je peux aussi me contenter de me rendre (encore) dans l’espace cuisinique boire un verre d’eau, grignoter quelque chose qui se grignote, et passer le reste de cette journée à fumer des cigarettes en attendant que cela passe (à défaut d’avancer).

Cela reste, par certains côtés, un tantinet confondant.

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