la sérénité cavique

Alors voilà, on s'active (dans tous les sens ?), on se démène (comme un forcené ?), on essaie (péniblement) de faire avancer (?) les choses (lesquelles exactement ?), d'organiser les logistiques, etc. Et voici que c'est le moment que choisit l'Adversité retorse et maligne pour faire son entrée sur la scène déjà passablement confuse du rien quotidien: depuis hier (et aujourd'hui itou) l'artisan élu à la tâche peinturante se trouve cloué au lit par un malencontreux mal au dos. Et ainsi se voit contraint d'interrompre (temporairement) les travaux en cours. Interruption qui fragilise, l'on s'en doute, le complexe édifice organisationnel mûrement réfléchi (" c'est faux !" vocifère une petite voix intérieure) par celui qui écrit ce blog.
Il me faut reconnaître ici qu'elle a bien choisi son heure (bien qu'il s'agisse de journée, mais passons) puisque, comme annoncé dans une note précédente (celle du 7 août 2015), cela intervient en même temps qu'une entrée dans une zone de turbulences familiales (un tantinet problématiques), et simultanément à l'attaque (un tantinet surprenante) de la sphère intime par une (un tantinet problématique itou) féminine créature (ayant fait preuve dans un passé pas si lointain d'une agressivité à la légitimité fort discutable).
Il n'importe, Lord Sandra Von Bullock (la germanisation particulaire amenant, on aimerait y croire, un léger plus dramatique) n'est pas du genre à s'en laisser compter et s'apprête, droit dans ses bottes (un tantinet inappropriées vu la saison) et la tête haute, à affronter la période qui arrive avec le calme et la sérénité que peuvent procurer deux jours passés à vider une cave insalubre et humide...
Non mais.

Comments

[parentheses]

S'il n'y avait qu'elle...

[xiaobob]

Ah, n'avais-je pas conseillé de se méfier des Odette !