le (fallacieux) prétexte climatique

Aujourd’hui, j’avais envisagé d’effectuer quelques unes des tâches (plutôt inintéressantes) que je dois faire depuis un certain nombre de jours, voire de semaines (procrastinateur un jour, procrastinateur toujours ?), mais comme j’ai assez mal dormi (mauvais sommeil, réveils multiples, rêves confus et perturbants), comme il a fait (encore) très beau (ciel bleu, ensoleillement agréable (chauffant mais pas trop), douceur ambiante relative), et comme il est prévu à partir de mercredi prochain toute une série de déplacements géographiques de ma personne (intra-nationaux jusqu’en avril puis plus extra-nationaux) en de (plus ou moins) lointains territoires présentant comme caractéristique (commune et) principale de se trouver singulièrement plus au nord que ma situation actuelle (ceci impliquant climat nettement moins clément), j’ai plutôt décidé de ne rien faire de spécial, me contentant de profiter (pendant que je le peux) de quelques (longues) stagnations terrassiques ainsi qu’ensoleillées.

Outre que cette attitude un tantinet irresponsable risque de générer plus tard soucis et tracas d’intensités diverses et variées, force est de constater qu’une élémentaire honnêteté m’oblige toutefois à reconnaitre que s’il avait fait nettement moins beau, il est fort probable que je n’aurai pas fait grand chose de plus, (éventuellement en intérieur domestique si pluie abondante extérieure).

Ne nous (?) leurrons pas, cela reste, par bien des côtés, assez confondant.