l'ancienne technologie moderne

Il y a peu, (le vendredi 6 novembre 2020 exactement), je relatais ici, entre autres choses, l’émergence dans l’horizon non hypothétiquement projectionnel, d’une possibilité (factuellement envisageable) d’une (prochaine) réalisation d’un projet non hypothétique. La réunion pré-labeurique que je narrais (?) alors (dans la note relative (ainsi que synchrone) à la date sus-évoquée en début de phrase) le prémonisait à l’époque (?), avec une (rare ?) pertinence.

Pour faire court, (hahaha), et sans entrer dans les détails et les diverses réflexions, discussions et négociations ayant finalement abouti à ce qui arrive juste après ce (présent) mot, signalons ici que ma participation à ce projet a (re)finalement été confirmée.

Ainsi, aujourd’hui, pour une (arbitraire) raison que j’ignore encore à cette heure, alors que j’entamais le boulot, j’ai (re-arbitrairement) décidé de ressortir des oubliettes, (ces « oubliettes » apparaissant ici, suis-je (très inutilement) obligé de le reconnaitre, comme une (assez passable) métaphore à vaine (mais louable ?) intention littéraire, puisqu’il s’agissait en fait d’un rangement approximatif en un espace lui-même approximatif (et relativement) dissimulé, perdu, voire abandonné au sein de mon intérieur domestique), j’ai décidé donc, reprends-je pour être bien sûr que tout le monde suit (re-hahaha), de ré-utiliser une machine technologique, de conception/constitution un peu ancienne (quoique déjà numérique), que j’utilisais dans le temps (?), dans le même cadre de la réalisation de projets hypothétiques (ou pas).

Une fois tout le bastringue installé, je passais quelques heures à conjecturer, connecter, configurer, conformer, et considérer, etc. (interrompant (enfin) cette ridicule énumération de mot en « con »), tous les éléments présents sur le terrain des opérations (?), pour un premier résultat (plutôt) encourageant. Chouette !

Plusieurs heures de labeurance, avec de (suivants) résultats à encourageance persistante, suivirent tranquillement leurs cours quand soudain (?) je décidais (arbitrairement, mais pas que) de ressortir (à peu près de là où vous savez maintenant) une autre machine technologique, de conception/constitution contemporaine à la première sus-évoquée, et susceptible de s’y connecter et d’augmenter ainsi le potentiel (un peu ancien et désuet ?) de l’installation technologique aujourd’huiellement remontée des oubliettes.

Alors que tout semblait rouler comme sur des roulettes, (ou baigner dans l’huile, si vous préférez), je me rendis vite compte d’un (très abrupt) fait, difficilement contournable, à savoir l’absence patente d’un élément, (un câble pour ne pas le citer ici…mais c’est trop tard), l'absence de ce dit-élement empêchant inéluctablement la connexion (et potentialités unies) des deux machines technologiques (presque) directement (re)venues d’un passé lointain.

Force est de constater que, pour l’heure, plutôt que me lancer (aveuglément ?) dans une (vaine ?) recherche câblique et spécifique, (les câbles sont un peu comme nous, ils sont tous taquins et différents), j’envisage présentement (et re-plutôt) d’aller, dans un avenir (que j’espère très proche), plonger mon corps dans un contenant (faïençique) empli de contenu liquide aqueux (très probablement moussant) et reprendre le cours du Rien.