le (relatif) renversement de tendance

Alors que ce dernier week-end, je n’ai pas fait grand chose, (hormis une tentative de sortie pédestre pour me changer les idées (?), un tantinet accablé par une météo résolument pourrie, (voire carrément lugubre: nuages menaçants, atmosphère blafarde, et très peu de lumière) qui s’est avérée un (flagrant) fiasco car sous une pluie résolument pénible), il n’en reste pas moins que ce début de semaine pourtant mal commencé (en constatant que l’espace (pourtant) public dans lequel je prends quotidiennement une prise caféïque ambulatoire, à cause des particulières circonstances de cette particulière période, s’est vu réduit bien au delà du territoire terrassique par les propriétaires barri-tabagiques craignant très exagérément une (éventuelle et très hypothétique) sanction si leurs « clients » stagnent trop longtemps, enfin passons…), il n’en reste pas moins, reprends-je donc, que le reste de la journée a connu une (patente) amélioration du fait d’un agréable moment déjeunique (en intérieur domestique) en agréable (et féminine) compagnie de l’(anciennement) inconnue que j’évoquais ici et qui l’est donc un peu moins maintenant.

Et sans même envisager pour l’heure une (hypothétique) fémino-côtoyance (probablement pas d’actualité), il n’en reste pas moins (reconnaissant honnêtement abuser un tantinet (et présentement) de cette expression) que rencontrer une (nouvelle) agréable, féminine et intéressante personne en cette particulière période peut assez aisément s’apparenter à une (certes légère, mais bon) victoire sur l’Adversité ambiante.

Comme quoi...