La (très) minimale avancée prédictive sur l’(hypothétique) harmonie de l’Univers chaotique

Après la reprise (un tantinet bavarde) de la rédaction et postance de notes en cet espace bloguesque (cf. les deux notes juste précédentes), tout une chacun (ou toute une chacune…l’un ou l’autre se trouvant similairement très fortement hypothétiques) aura constaté une interruption abrupte (ah, cette manie de l’exagération…) depuis mercredi dernier, interruption circonstancielle du fait de la translation géographique de celui qui écrit ce blog (moi) en un lieu extra-régional (mais tout de même national).

Comme une ancienne habitude (un tantinet perturbée ces derniers mois par la situation particulière (autant que sanitaire) que tout le monde connait, mais oui, vous savez bien…), ma personne s’est donc géographiquement translatée en un territoire (pas si nouveau que cela, que l’on pourrait sans trop s’égarer définir comme plutôt rural et campagnard), dans le cadre de la réalisation d’un projet non hypothétique, projet non hypothétique dont je précisais (malencontreusement sans aucune précision) la terminaison dans une laconique petite phrase égarée dans la note juste précédente à la précédente de celle présente.

Plus simplement (vraiment ?), un projet non hypothétique a occupé une grande partie de ces derniers mois pour aboutir (enfin ?) à sa (première) réalisation ces derniers jours.

Il peut être intéressant (ou pas) de remarquer ici que cette (première) réalisation sus-évoquée n’a toutefois pas pu se voir réellement patente (?), puisqu’interrompue pour des raisons (de nouveau) circonstancielles (et grandement extérieures à toutes choses se rapprochant de près ou de loin du règne du Vivant, Animal et Végétal confondus). Et cela, je le précise, à finalité rassurante, sans conséquences trop fâcheuses, si ce n’est un probable report temporel encore non défini.

Quoiqu’il en soit, et j’en arrive (très difficultieusement, je le reconnais volontiers) à l’objet (confus, as usual) de cette présente note, ces cinq (5) derniers jours (plutôt agréables) ont tout de même généré un accroissement significatif de fatigue, et ce même si un (présent) moral toujours plutôt satisfaisant permet la constitution d’une assez bonne réserve énergétique, (mais bon, passage des années, usure des corps, voire (constitutive) fatigue existence font, c’est malheureux mais c’est comme ça, que les caisses se vident rapidement …).

Or donc, revenu hier en intérieur domestique, je me trouvais aujourd’hui toujours passablement fatigué, mais résolument détendu.

Et, pour en revenir à l’(hypothétique) harmonie de l’Univers chaotique évoqué (titralement ?) dans la note juste précédente et plus particulièrement au deuxième événement (hypothétiquement) lié à l’achat de deux oreillers, (trop compliqué à résumer ici, cf. la note juste précédente, la bien nommée (?): « les oreillers et l’(hypothétique) harmonie de l’Univers chaotique »), fatigué mais calme, détendu, voire serein (?), je décidais d’envoyer en début d’après-midi un message cell-phonique à la charmante (et complexe) féminine créature, (« à la plastique un tantinet troublante » comme il est dit dans la note sus-citée), participant directement au deuxième événement (lui aussi sus-évoqué dans cette présente (et déjà malhabile…gasp!) phrase), pour lui proposer une prise caféïque en milieu terassique, voire en intérieur domestique selon son envie et/ou disponibilité.

Il peut être (encore ?) intéressant (ou pas) de signaler ici que l’idée (et l’exécution) de cette proposition, assez peu ambiguë vu le contexte, mais toutefois (relativement) légère, a été motivée par une tentative (infructueuse, le chaos étant ce qu’il est) de ramener toute cette histoire dans un contexte plus habituel: A savoir pour résumer grossièrement, rajouter quelques étapes successives dans le processus qui (peut) permet(tre) à deux êtres humains (adultes et responsables ?) de passer (progressivement) de quelques rencontres et prises caféïques à un (possible) allongement mitoyen (conjoint ?), en tenue biblique, tout cela laissant présager une éventuelle (mais toujours très hypothétique, ce qui n’est pas plus mal) activité corporelle, encore à définir s’il y a lieu.

Enfin bref.

Pour conclure, sentant la migraine poindre (et encore, je ne parle que pour moi), ma (pourtant estimable ?) tentative a échoué, la (presque) damoiselle (« presque » car il semble, après vague recherche internique, que le terme « damoiselle » ne semble s’appliquer qu’à une personne jeune, ce qui n’est pas le cas ici…en même temps, à ma connaissance, elle n’est pas non plus « fille de noble condition »…Mazette !), la charmante et féminine créature (là, ça marche !), reprends-je, ayant poliment refusé la (ma) proposition, non sans laconiquement envisagé quelque chose (mais quoi ?) dans la semaine qui vient.

Nous en sommes là.