L'appréhension (détendue) de l'infini global
Alors qu'approche inexorablement la date butoir à partir de laquelle celui qui écrit ce blog devra (temporairement) abandonner son intérieur domestique aux mains (qu'il espère habiles et compétentes) de l'artisan élu, force est de constater que l'aujourd'hui-elle (autant qu'introductive) première phase (pourtant) fort active en terme de débarrassage d'objets divers et variés, de déplaçages d'objets divers et variés, de premières mises en cartons d'objets divers et variés, de réflexions logistiques quant aux (imminentes) translations géographiques (à destination boxique, cf. le quatrième paragraphe de la note du 9 juillet 2015, celle-ci donc) d'objets divers et variés, (avec, c'est (un peu) contrariant, encore peu de jetage (bénéfiquement) radical d'objets divers et variés), force est de constater, reprends-je par souci de clarté (?), que cette première phase n'a finalement (et pour l'heure) que peu modifié l'aspect global des premiers espaces entrepris. Un peu comme si la masse d'objets divers et variés était si considérable qu'elle tende à se rapprocher d'un infini par définition difficilement circonscrit.
Espérons (?) qu'il en faille plus pour décourager Victor qui, de par sa nature extraterrestre (je pencherais pour cette option, plutôt qu'une origine intraterrestre, à voir sa (relative) aisance à faire fi de l'imposante gravité qui sévit sur cette planète, gravité rendant (pour celui qui écrit ce blog) assez pénible le soulévement/déplacement d'objets divers et variés), possède une appréhension de l'infini global singulièrement plus détendue qu'elle ne l'est pour le commun des mortels...