les limites du corps (2)

Complètement dépassés par l'ampleur (on commence à le savoir...) de la tâche à entreprendre (cf. notes précédentes), il peut être intéressant (?) de signaler ici que celui qui écrit ce blog et son intrusif acolyte, le maintenant (?) fameux (?) Victor, travaillant (enfin ?) de concert , n'ont toutefois pas lésiné sur leurs efforts, et faisant preuve d'une détermination jusqu'alors inusitée (principalement dans le cas de celui qui écrit ce blog), ont laborieusement oeuvré toute la journée, dans des conditions climatiques un tantinet difficiles, à cette surprenante mission mystérieusement survenue (imposée ? par qui ?) dans le quotidien plutôt placide (bonhomme ?) de celui qui écrit ce blog.

Signalant au passage qu'ils ont été (grandement) aidés par le soutien pratique d'un ancien partenaire amicalo-professionnel, (qu'il en soit ici remercié), il n'en reste pas moins que la forte (excessive ?) dépense énergétique dépensée (?) a grandement entamé leurs ressources éponymes (et principalement celles, originellement paupériques, de celui qui écrit ce blog), les laissant passablement épuisés au bord du rivage journalier.

Rendez-vous étant pris tôt demain matin avec d'autres partenaires amicalo-professionnels pour la poursuite de l'ample (oh, cela devient un tantinet lassant, cette récurrente insistance...) oeuvre en cours, force est de constater que celui qui écrit ce blog, une fois cette (présente) note postée, et après une vertigineuse absorption aqueuse (le contenant verreux s'étant vu échangé, survie oblige, contre un contenant plus bouteillique), ira s'allonger sur l'ensemble sommeillique encore (pour combien de temps ?) en place dans le chaos global et domestique, en vue d'un imminent (et réparateur ?) évanouissement.

Dont acte.