le déplacement géographique du projet
Aujourd’hui, après la traditionnelle (autant que quotidienne) prise caféïque au bar en bas du boulevard, et après être revenu en intérieur domestique, (pour ne rien faire de spécial pendant une paire d’heures), alors que j’étais censé me mettre à quelques tâches diverses et variées, j’ai choisi (tiens donc !) de continuer à ne rien faire de spécial.
Toutefois, au vu de la belle lumière extérieure, je me décidais (soudainement, au bout de quelques heures) à continuer à ne rien faire de spécial certes, mais dans un autre cadre géographiquement distinct. Et ainsi, prenant le taureau par les cornes (?), je ressortais (plein d’allant ?) et déplaçais pédestrement ma personne en direction de l’hyper-centre (le down-town d’autrefois), passage obligé afin de rejoindre un endroit (dégagé) présentant comme agréable caractéristique, outre la présence (bienvenue) d’un banc à exposition solaire maximum, de se situer à proche proximité de l’immense élément aqueux (et méditerranéen) qui affleure cette grande cité (dite phocéenne) dans laquelle je réside (sans vraiment de bonnes ou mauvaises raisons à cela, mais il s’agit d’une toute autre thématique…).
Arrivé à destination et assis, je mis alors mon projet (du jour ? de la semaine ? du mois ?) à exécution, à savoir continuer à ne rien faire de spécial.
Ce week-end, c’était un peu pareil, (avec quelques différences plus ou moins notables).
Dont acte.