l'(incontournable) interaction

Aujourd’hui il m’a fallu (c’était contextuellement incontournable…vous (?) pensez bien que si j’avais pu l’éviter, j’aurai sauté sur la moindre occasion, mais là, j’étais vraiment pris au piège comme un petit rongeur à la queue chatoyante (ou pas) qui serait (donc) pris au piège, si, si) m’impliquer, reprends-je, pas bégeule, dans une interaction (délicate et à priori pénible: une sombre (et trainante) histoire de dégâts des eaux) humaine, sociale, socialisante et « responsable » (?) avec deux masculines personnes, en l’occurence un représentant d’un syndic et un expert (en fait un contre-expert, mais il serait fastidieux d’aller plus avant dans les détails). Avec moi donc. Quelle histoire !

Bien heureusement formé depuis un certain temps (déjà) à toutes les techniques, ressources, stratégies et autres comportements ou parades préventives susceptibles de garantir un taux confortable (pour autant qu’un taux puisse l’être) de survie en milieux (plus ou moins) hostiles, je traversais cet espace temporel et relationnel (communicatif ? conflictuel ?), léger et performant (?), tel un petit moineau traversant une place urbaine, en début d’après-midi, moyennement fréquentée, à petits sauts graciles et ponctuels picorismes (?) avantageux, ne sursautant même plus quand un petit canidé (lui aussi urbain) fait mine de s’approcher. Non mais !

Je pense que je vais aller boire un verre d’eau, (et retourner au fond de mon terrier).