la réussite programmique partielle

Aujourd’hui, il fait encore très beau (jusqu’où cela va-t-il aller ?). Néanmoins, m’en revenant (en intérieur domestique) d’une prise caféïque (au bar en bas du boulevard), prise caféïque (à laquelle, outre s’être déroulée en milieu (très) agréablement ensoleillé, s’est vu (exceptionnellement) adjoindre une fraiche et vitaminée orange pressée (à finalité régénératrice et reconstituante)), il semble bien que l’opportunité d’en profiter, c’est à dire de passer plus de temps en extérieur ensoleillé, s’en voit singulièrement minorée du fait (on l’avait tous deviné) d’une consommation (une nouvelle fois ???) un tantinet excessive de liquides divers et variés à (plus ou moins) forte teneur alcoolisée durant la belle (et agréable) journée ensoleillée (autant que hieresque).

En effet, l’alléchant (?) programme évoqué dans la note juste précédente (d’hier donc) s’est vu, contre toutes attentes, réalisé (relativement) dans les grandes lignes.

Ainsi hier, je suis donc allé déjeuner en bord de mer, en très agréable et amicale compagnie, puis en milieu d’après-midi, (après un rapide approvisionnement tabagique) je me suis rendu à la réception célébrante (en territoire très prochement quartieral) pour rejoindre d’autres ami-e-s et ainsi consommer matières nutritives et boissons alcoolisées, tout en échangeant (encore une autre chose qu’il était assez facile de deviner) considérations diverses et variées sur la marche (confuse) du monde et celles de nos existences (plus ou moins confuses également, à ceci prés que la confusion avait une légère tendance à s’accroitre au cours de la soirée par simple effet de cause (alcool) à effet (confusion)), et ce jusqu’à une heure tardive.

Pour ceux et celles qui suivent, (je peux comprendre leurs difficultés), il est également facile de concevoir que le programme hieresque n’a donc pas été totalement respecté puisque je n’ai pas déplacé nuitamment ma personne en un lieu géographique distinct (et lointain) pour retrouver encore d’autres personnes, éprouvant déjà (je n’en suis guère fier, mais en même temps m’en tamponne un peu le coquillard) quelques singulières difficultés (mais j’y suis tout de même fièrement arrivé) à rejoindre mon intérieur domestique, se situant à quelques cent cinquante (150) mètres du lieu de la réception.

Calculant maintenant que, sur les trois (3) événements auxquels j’avais prévu de participer hier, ma participation fut patente sur deux d’entre eux, ce qui revient à dire que les deux tiers (2/3) du programme ont été (rigoureusement) effectués, force est de constater que j’en éprouve (inutilement mais tout de même) une (assez) bonne satisfaction. Considérant que le nouveau (et proche) programme (aller boire un verre d’eau dans l’espace cuisinique puis m’allonger quelques instants) a de bonnes chances d’aboutir, le niveau de satisfaction global s’en voit par là même un tantinet augmenté (de même qu’une certaine (et très circonstancielle) fatigue corporelle, les choses n’étant jamais (ou parfois peut-être, je n’en sais pas grand chose finalement) ni complètement blanches ni complètement noires).