la solitude collective

Aujourd’hui, comme plusieurs jours de cette semaine, j’ai oeuvré (solitairement) à la préparation/réalisation d’un projet non hypothétique. Projet censément collaboratif, avec (nouveaux) partenaires amicalo-professionnels, force est de constater qu’à part une (très) agréable journée labeurique et collaborative, (me donnant, soit dit en passant, l’occasion de rencontrer une (assez charmante et) féminine créature) il y a une (ou deux ?) semaine(s), je n’ai eu que peu de contacts (très principalement téléphoniques) avec cette (sympathique) équipe.

En même temps, chaque participant-e ayant un domaine spécifique d’intervention sur le projet, et intervenant moi-même en bout de chaine (en renfort ?), il est fort possible qu’une fois ma part terminée (et validée par l’équipe), nous puissions de nouveau nous retrouver et échanger considérations diverses et variées sur la marche (confuse) de monde et celles de nos existences (plus ou moins) confuses.

De là à considérer l’avènement d’une (forte) amitié, voire l’envisageance d’une (future) fémino-côtoyance, il y a un pas que je vais m’abstenir de franchir présentement. D’autant plus que j’ai encore du pain sur la planche, (cette dernière expression devant se lire comme une passable métaphore, et non pas littéralement, comme la reprise de mes (toutes récentes) expérimentations culinaires).

Il est temps maintenant de me rendre dans l’espace cuisinique boire un verre d’eau...