la non-influence des circonstances (particulières ou pas)

Ce matin, j’ai passé un (long) moment à (essayer de) planifier/anticiper/organiser un prochain (et hypothétique ?) déplacement géographique de ma personne en un territoire singulièrement plus lointain que l’actuel territoire imparti par les particulières circonstances de cette particulière (itou) période, même si je me dois de reconnaitre ici, un peu contrit, que mon usuel territoire parcouru (en dehors d’exceptionnels déplacements géographiques de ma personne) s’avère finalement nettement plus réduit (descendre le boulevard descendant, principalement pour prise(s) caféïque(s), puis remonter le boulevard (devenu de fait ascendant)), et ce indépendamment des circonstances et des périodes.

Or donc, du fait des (particulières) circonstances de la (particulière) période, (ça commence à se savoir), afin de planifier cet (hypothétique ?) déplacement géographique de ma personne en un territoire extra-national (mais tout de même intra-européen), il m’a fallu jongler de longs moments, (non sans grande difficulté et redoublement de patience), sur les autoroutes technologiques de l’information, avec plusieurs modes de déplacements véhiculaires (chemins-de-ferriques, aériens, autobussiens, etc.), la practicité et fonctionnements de ces derniers se voyant (de plus) fortement perturbés par les (toujours particulières) circonstances.

Force est de constater toutefois, à mon grand dam, relisant, (non sans grande difficulté), les deux premières phrases (paragraphiques) de cette (présente) note et leurs (souvent) intempestives (et confuses) parenthèses et digressions syntaxiques (sans même parler des néologismes et autres barbarismes surgissants), que là aussi (?), aucunes circonstances (particulières ou pas) n’en ont jamais empêché leur rédaction (un tantinet confuse et embrouillée donc).

Cela reste, par certains côtés, assez confondant.