le retour (éventuel) des beaux jours

Il peut être intéressant (ou pas) de remarquer ici, alors que celui qui écrit ce blog, pour une raison qui lui échappe encore (as usual), se disait récemment, en son for intérieur qu’il était peut-être temps de commencer à songer, dans un premier temps, à l’hypothétique éventualité d’une (toute aussi hypothétique) envisageance de la possibilité (hypothétique, oui encore…) d’un (progressif et certainement très relatif, et encore hypothétique, précise-je un peu lourdement, je le concède très volontiers, enfonçant plus encore le (métaphorique) clou) retour au « monde socialisé », cette première envisageance (à haut taux d’hypothéticité) constituant la première étape, (le premier temps sus-évoqué précédemment), auquel succéderait (très peut-être) un (éventuel) deuxième temps, (cela parait logique), aboutissant (soyons fous et positifs (?)) à une (nouvelle) fémino-côtoyance de belle facture.

Il n’échappera à personne que, pourtant (innocemment) entamée sans grande nouveauté ni surprise, la (juste) précédente phrase s’est rapidement emballée, multipliant digressions et propositions syntaxiques confuses, à un tel point que je me suis vu dans l’impossibilité (paresseuse) de la conclure, en en respectant une construction sémantique cohérente. J’en suis le premier désolé.

Je reviendrais peut-être là-dessus demain (ou pas).