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ce que je fais de mes jours (saison 3)
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5 janvier 2021

la réduction (relative quoique signifiante) de la minimisation des chances

Aujourd’hui, après une prise caféïque déambulatoire, (c’est à dire en stagnation verticale à quelques mètres du bar en bas du boulevard, dépourvu de tous ses attributs barresques (chaises, tables et terrasse) pour cause de particulières circonstances, mais néanmoins autorisé à délivrer liquide caféïque dans gobelets plastiques), et profitant d’un contexte climatologique favorable (grand froid certes, mais beau ciel bleu), je décidais, plutôt qu’un retour direct (et bonhomme) en mon intérieur domestique, de me diriger pédestrement vers un territoire peu lointain, bien pourvu en officines livresques, ayant eu vent (?) il y a quelques jours de la sortie d’un (nouvel) ouvrage livresque de quelqu’un (qui écrit) que j’aime beaucoup (depuis quelques années).

Apres une première officine dans laquelle je me procurais, moyennant transaction financière, trois livres (dont un, me rendis-je compte de retour en intérieur domestique, que je possédais déjà et, à mon grand dam, avais déjà lu, chose qui, s’il avait plu et fait lugubre dehors, aurait peut-être pu me déprimer un tantinet, mais (chanceusement) en fait non).

Toutefois, je ne trouvais pas l’objet premier de mon déplacement et poursuivis donc ce dernier (?) en direction d’une seconde officine livresque dans laquelle j’eus plus de chance, (en fait, précise-je inutilement, ce fut un peu plus compliqué que cela, car arrivant devant la personne officino-responsable et lui énonçant mon attente (ce nouveau livre sorti donc), cette dernière me répondit qu’elle ne l’avait pas en vente, mais que toutefois elle l’avait reçu ce matin pour une mise en vente prévue deux jours plus tard, et alors que je m’apprêtais à quitter les lieux sans aucune attitude ou figure particulière, elle me dit: « mais bon, puisque vous êtes là, je peux vous le vendre », rajoutant « ils (?) n’avaient qu’à me l’envoyer plus tard. »…monde parfois étonnant).

Enfin bref.

Par la suite, déambulant bonhommement dans le territoire piétonnier, et ralentissant cette déambulation car voulant profiter d’un espace plutôt ensoleillé, j’aperçus, se dirigeant vers moi, une charmante et féminine créature (anciennement fémino-côtoyante) que je connaissais depuis un moment déjà (donc) et que je n’avais plus vu depuis un bon moment également, du fait des (bien connues maintenant) circonstances et période particulières (mais pas que). Nous nous saluâmes et, comme nous allions dans la même direction, fîmes un bout de chemin ensemble, échangeant considérations diverses et variées sur la marche (très confuse) du monde et celle de nos existences perspectives (plus ou moins confuses).

Et de fil en aiguille (?), elle m’invita chaleureusement à une prise caféïque en son intérieur domestique (peu distant du mien). Et nous échangeâmes ainsi un (nouvel et) agréable moment discutatoire, durant lequel il (me) parut assez clair (mais le doute prévaut) que l’éventualité d’une reprise fémino-côtoyante avait de bonnes probabilités de se réaliser, si toutefois les circonstances, le hasard ou plus simplement l’envie le permettaient.

Mais bon, la conclusion énoncée dans la note d’hier, (celle juste précédente à celle-ci présente) se voyant, chanceusement, déjà bien remise en question, il me sembla pertinent (et plus prudent) d’en rester là dans un premier temps.

Dont acte.

 

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