la résolution circonstancielle du dilemme décisionnaire
Ayant oeuvré (pratiquement) toute la journée sur l’(hypothétique) développement d’un projet (pourtant) non hypothétique, il peut être intéressant (ou pas) de signaler ici, alors que les deux dernières (et précédentes) notes faisaient état de (ma) présence accrue en milieux extérieurs (ainsi que terrassiques), qu’aujourd’hui j’ai très principalement occupé l’intérieur domestique, (à la température ambiante malencontreusement encore fort élevée).
Or donc, l’on pourrait aisément considérer que, si celui qui écrit ce blog veut poursuivre l’un des objectifs (vague) qu’il s’est (vaguement) fixé, à savoir rencontrer de nouvelles personnes (plus spécifiquement fémino-créaturiennes), ce présent jour (très vaguement) « festif » pourrait apparaitre, en première analyse, comme une bonne occasion (ou en tout cas pas pire qu’une autre) de se mouvoir et/ou stagner en milieux terrassiques (et conviviaux ?).
Toutefois, force est de constater que la (non négligeable) fatigue de cette présente journée labeurique (sous haute température) a considérablement entamé les (malencontreusement assez limitées) réserves énergétiques de celui qui écrit ce blog et que la perspective d’avoir à côtoyer une (grande) multitude de personnes (agitées ?) dans des environnements previsiblement fort bruyants me dissuade présentement de me lancer dans une telle aventure.
Re-toutefois, il peut être (de nouveau) intéressant (ou pas) de remarquer que si je l’eus fait (la question reste encore un tantinet en suspens pour l’heure), il y a fort à parier que le dilemme décisionnaire évoqué dans la note juste précédente (celle-ci) n’aurait eu point lieu d’être, privilégiant, assez logiquement dans un tel contexte, une consommation plutôt alcoolisée.
Comme quoi…