la (bonne ?) gestion énergétique du souci pragmatique

Alors que la tendance globale reste à la stagnation et l’immobilisme, qui rivalisent d’efficacité sur la quasi-totalité des opérations/démarches/stratégies récemment entreprises, (hormis une augmentation (non encore préoccupante ?) des fiascos directement liés aux actions (discrètes ?) menées dans le cadre de l’envisageance d’une (hypothétique) fémino-côtoyance, le contexte estival et l’occupation accrue du territoire extérieur (terrassique) permettant (chanceusement) quelques nouvelles voies à emprunter…ou pas), alors que rien (ou pas grand chose) ne bouge donc, reprends-je, il n’en reste pas moins que ces derniers jours, j’ai pu échangé considérations diverses et variées sur la marche chaotique du monde (et tout le reste qui suit, cf la quasi-totalité des notes de cet espace bloguesque) avec différentes personnes, rencontrées à différents moments de la journée.

Il peut être intéressant (ou pas) de signaler ici que se pose alors (et re-ici) un « souci » très pragmatique: que consommer en milieu terrassique ?

Effectivement, du fait de la localisation circonstancielle de ces rencontres, donc très principalement en milieux terrassiques (et conviviaux ?), un dilemme décisionnaire, à l’instar du « souci », se pose (également re-donc) en deux propositions (plus ou moins) contradictoires:

1. Boire frais (pour se rafraichir) et/ou chaud (pour se réveiller).

2. Boire alcoolisé.

J’imagine qu’il ne manquera pas d’esprit(s) taquin(s) pour souligner qu’il est tout à fait possible de boire frais ET alcoolisé, mais bon, envisageant d’aller (urgemment) boire un verre d’eau dans l’espace cuisinique, je ne m’attarderai point sur le sujet.

Pour résumer et conclure (d’une pierre deux coups !), hormis les premiers cafés (méthodologie et rigueur obligent), force est de constater qu’à la mi-journée/début d’après-midi j’hésite souvent, et me laisse (souvent itou) porter par les pratiques/choix des personnes assises à notre (ma ?) table, (économisant par là même une dépense énergétique superflue).

Nous en sommes là.