climatologie positive

Alors que je m’interrogeais en début d’année (cf. ici) sur un éventuel départ sur les chapeaux de roues de cette nouvelle année, force est de constater que celui qui écrit ce blog (soit dit en passant, entre le « je « , le «  nous « , et le «  celui qui écrit ce blog « , il faudra bien un jour que j’arrive (que nous arrivions ? que celui qui écrit ce blog arrive ?) à arrêter une formule définitive… ou pas, puisque finalement l’impermanence du monde fait (pourrait faire) loi…mais je m’égare déjà, désolé…), enfin bref, reprends-je l’air de rien, force est de constater une incapacité (que nous espérons temporaire) à réellement enclencher quoique ce soit alors que l’on (j’avais oublié le « on « , c’est sans issue…) se dirige déjà vers la fin du premier mois de cette nouvelle année.

Ainsi alors que de nombreuses tâches (certes fort rébarbatives mais qui pourraient (ou pas) faire un tantinet avancer certaines situations particulières et délicates) restent en suspens (doux euphémisme) et que d’autres potentialités activiques (par bien des côtés plus séductrices) pourraient (éventuellement) permettre un accroissement significatif de mon taux (fort personnel, et à l’heure actuelle assez minoré) de satisfaction, il n’en reste pas moins que (par naturelle inertie, constitutive paresse, prudent doute, ou encore excessif détachement global et/ou particulier ?), je ne peux que constater, me répétant à mon grand dam, une incapacité à réellement enclencher quelque chose de concluant (ou pas).

Cela étant, malgré un froid conséquent (en juste adéquation avec la saison), je ne peux que me satisfaire de ce magnifique (et aujourd’huiel) ciel bleu et ensoleillement (certes peu chauffant mais) esthétiquement fort agréable, qui permet un accroissement certes liminal (mais bon, point trop difficile il ne faut être en ces périodes troubles) de mon taux de satisfaction, accroissement qu’après d’arbitraires (voire quasi-fictifs) calculs, je peux chiffrer à + 0,2%, ce qui n’est pas grand chose, mais pas rien non plus.

C’est déjà ça.