le déplacement amicalo-labeurique

Demain, à l’issue de toute une série de déplacements géographiques de ma personne sur le territoire national, durant lesquels une (relative) diversité de moyens de transport seront, (sauf contre-ordre, contretemps ou autre grain de sable inopiné), successivement utilisés (pied, métro, train, re-métro, re-train, voiture, re-pied), je rejoindrai un (assez géographiquement lointain donc) partenaire amicalo-professionnel dans le cadre de la poursuite de la réalisation d’un projet hypothétique en cours (depuis deux, trois ans déjà).

Cela sera l’occasion d’un troisième séjour, (à finalité labeurique certes, mais dans un cadre grandement amical), chez ce partenaire amicalo-professionnel et sa compagne, qui résident (maritalement) dans une (petite) ville (village ?) quelque part, à une heure de route d’une ville un peu plus (voire assez) connue, (mais pas non plus super connue).

En même temps, à l’occasion des précédents séjours (à finalité tout de même labeurique, me répète-je), je dois reconnaitre ici que je n’ai réellement vu que la gare de cette ville un peu connue (sus-évoquée), et pour ce qui est de la (petite) ville (village ?) où je séjournais/labeurais lors des mêmes deux précédents séjours, hormis un bar à gauche en remontant la petite rue et une boulangerie quelque part dans le coin, je n’ai pas vu grand chose d’autre.

Re-en même temps, logeant dans une confortable dépendance, dans un agréable cadre amicalo-convivial, et dans une ambiance labeurique plutôt concentrée, le bar à gauche en remontant la rue et la boulangerie quelque part dans le coin apparaissent comme deux éléments assez pertinents pour permettre d’envisager une confortable survie d’une (petite) quinzaine de jours en dehors de l’intérieur domestique.

Comme quoi…