le (très) particulier cumul de projets

Ce matin, j’ai (agréablement) oeuvré en agréable (et charmante) collaboration avec une récente (et charmante itou) partenaire amicalo-professionnelle dans le cadre de la finition (imminente autant que) réalisatoire d’un projet non hypothétique que j’évoquais dans une note passée (celle-la), matinée durant laquelle nous avons pu, entre labeurs concentrés et (aussi) détendus, échanger considérations diverses et variées sur la marche (résolument) confuse du monde et celles de nos existences (plus ou moins confuses itou), (comme je le prémonisais re-ici).

Et cet après-midi, j’ai re-oeuvré (agréablement) en collaboration avec un ancien partenaire amicalo-professionnel (sympathique, et charmant aussi, mais différemment) dans le cadre de la continuation d’un projet hypothétique débuté il y a une paire d’années (que j’ai peut-être évoqué quelque part, mais rien n’est moins sûr), et dont la terminaison réalisatoire (fort) hypothétique, du fait de la particulière période (mais pas que), laisse supposer de nombreuses prochaines (quoique previsiblement espacées) séances labeuriques avant d'en voir le bout.

Et demain après-midi, il est prévu une nouvelle séance (labeurique itou) en compagnie d’une (charmante itou) partenaire amicalo-professionnelle (plus ancienne que celle de ce matin mais plus récente que celui de cet après-midi) dans le cadre de la (proche ?) consécration réalisatoire d’un projet hypothétique en cours ces deniers mois (même si initié il y a beaucoup plus longtemps).

Force est de constater en ce début de semaine, (en cette fin d’année (fort) particulière), une singulière accélération activique, (il serait plus honnête de parler d’un (passable) sursaut), me retrouvant par là même, un peu contrit, un tantinet à contre-sens de la (particulière) période et de ses circonstances (fort particulières itou).

Le fait toutefois que soit planifié, (après difficile organisation, du fait des (toujours) particulières circonstances), un déplacement géographique de ma personne (en un territoire extra-national, d’où la difficulté sus-évoquée), en fin de semaine, diminue considérablement le risque, la probabilité, ou encore l’envisageance d’un (inopportun) surmenage, d’autant plus que je (n’ai pas fait et globalement) ne fais pas grand chose ces derniers temps, (comme l’attestent de nombreuses notes précédentes, ainsi que les quelques (récentes) absences quotidiennes de rédaction/postance de note dans cet espace bloguesque, pour la même raison que celle évoquée juste après le « d’autant plus » de cette présente phrase).

C’est plutôt rassurant ?