la bifurcation (sémantique et très exagérément) victorieuse

Tout à l’heure, je me suis lancé allègrement (témerairement ?) dans la (longue) rédaction d’une note parlant de quelque chose.

Mais après une pause, je n’ai plus eu envie de parler (d’écrire sur) de ce quelque chose, d’autant plus, du fait de la pause, qu’il m’aurait fallu pour poursuivre (voire conclure ?), tout reprendre depuis le début de la (déjà bien avancée, bien que cela reste à prouver, sémantiquement parlant) note (évoquée dans la phrase juste précédente), déjà très singulièrement confuse, embrouillée, sinueuse et carrément incompréhensible au point où j’en étais rendu.

Du coup, prudent et changeant (très métaphoriquement) mon fusil (diantre !) d’épaule (laquelle ?), je vais présentement poster cette présente note et, presqu’à la même heure qu’hier, (à quelques minutes près, ce qui en soit n’est point étonnant étant un mammifère au comportement naturel, instinctif et régulier (routinier ?) fort adapté à son environnement naturel, en l’occurence ici, mon intérieur domestique), après cette dernière proposition parenthésique, (d’intérêt très relatif, reconnaissons-le) ici, reprends-je, je vais donc poster cette présente note et envisage re-donc de me rendre dans l’espace cuisinique afin d’y boire un verre d’eau.

Encore une (très relative) victoire !