la concordance des notes

Aujourd’hui, je me suis rendu en un lieu (point trop éloigné de mon territoire usuel) où des personnes mobilisées sur quelque chose se réunissaient pour s’entretenir de ce quelque chose, voire peut-être sensibiliser (et mobiliser ?) d’autres personnes non encore informées, sensibilisées ou (insuffisamment ?) mobilisées.

Etant moi-même très faiblement mobilisé (et encore j’exagère, pas du tout mobilisé serait plus juste) sur quoique ce soit, (hormis peut-être en ce qui concerne les prises caféïques, l’absorption de verres d’eau dans lieu cuisinique ou encore les translations géographiques de ma personne dans le cadre de projets hypothétiques ou pas, mais il serait là aussi très fortement exagéré d’user du terme « mobilisation » pour ce qui ne constitue finalement que quelques pratiques comportementales dont la (seule ?) finalité est simplement d’occuper le temps), étant moi-même donc pas du tout mobilisé par quoique ce soit, reprends-je, je m’y suis rendu (dans le lieu évasivement évoqué au début), sur l’invitation d’une charmante et féminine créature, autrefois fémino-côtoyée, dont je n’avais plus de nouvelles depuis fort longtemps, (hormis la vague conscience d’une mobilisation croissante de cette personne, ceci expliquant peut-être cela).

J’ai pu alors échanger avec cette charmante et féminine personne, (toutefois circonstantiellement fort occupée par la mobilisation globale de l’assemblée, donc très brièvement) considérations diverses et variées sur la marche (chaotique) du monde et celles de nos existences (plus ou moins confuses) 

Il peut être intéressant (ou pas) de signaler ici que nous fûmes respectivement fort contents de nous revoir, après ce long temps (sans autre motif que le temps qui passe…), en plutôt bonne forme et moral plutôt satisfaisant, semble-t-il.

Je ne m’attardais cependant point trop longtemps, la laissant profiter pleinement de ces satisfaisantes (et plaisantes) activités relationnelles, amicales et/ou mobilisatrices.

Il peut être (également) intéressant (ou pas) de remarquer ici, en référence directe (quoique sans grand intérêt, suis-je obligé d’honnetement reconnaitre) à la note du dimanche 12 juin 2022 de ce (présent) espace blogguesque (cette note là), qu’allant poliment signifier à mon hôte mon départ imminent, après regards chaleureux, elle lâcha, laconique et souriante: « Ca te va bien les cheveux longs. »

De là à en conclure quoique ce soit, voilà un pas que je n’envisage même pas de franchir, sans la moindre hésitation.

Dont acte.